
Description
BOILEAU-NARCEJAC, 1972
Quelques semaines après la mort de son mari, Ève reçoit un enregistrement sur lequel est gravé À cœur perdu, une chanson qu’il lui demande d’interpréter, avec ces quelques mots : «Si, un jour, tu entends ce disque, la preuve sera faite que j’étais de trop…» Or son mari a été tué par Jean, jeune pianiste talentueux et son amant depuis plusieurs mois, mais le meurtre a passé pour un accident.