Catalogue “Lu pour Vous!”

Alfred de MUSSET,  1845
Chaque fois qu’une porte s’ouvre ou se referme, se joue le bonheur ou le malheur de toute une vie…

Maryse VAILLANT,  2001
Question difficile sur un sujet tabou, souvent synonyme de gêne et de non-dits.

Thich NHAT HAHN, 2005
Un examen minutieux de la mort, de la peur et de la nature de l’existence, dans la grande lignée des moines bouddhistes et de leur enseignement depuis deux mille cinq cents ans.

THICH NHAT HAHN, 2003
 Avec son mélange habituel de philosophie, de petites histoires et de méditations guidées, Thich Nhat Hanh nous conduit à un examen minutieux de la mort, de la peur et de la nature de l’existence comme le font les moines bouddhistes depuis deux mille cinq cents ans.

Sylvie TESTUD,  2003
L’actrice nous emmène à une interview au Plaza, sur un tournage en japonais, acheter du plâtre au BHV, faire l’amour devant vingt personnes pendant huit heures, essayer des robes chez Chanel, tout en refusant de sauter par la fenêtre… Le quotidien d’une actrice, en somme.

Alfred de MUSSET,  1836,  lère mise en scène 1848
Valentin, vingt-cinq ans, mène une vie de dandy vouée aux plaisirs et jure qu’il ne se mariera jamais, de peur d’être trompé. Quand son oncle, las de l’entretenir, lui propose de s’unir à Cécile de Mantes, une riche aristocrate, Valentin parie qu’il séduira incognito sa promise.

Felicity LOTT avec Olivier BELLAMY,  2016
Maréchale chérie par Carlos Kleiber dans un Chevalier à la rose de légende, Comtesse de rêve chez Mozart et Strauss, époustouflante Belle Hélène au théâtre du Châtelet, Felicity Lott retrace ainsi le chemin de sa vie professionnelle et intime avec une liberté de ton, une sensibilité à vif et un humour irrésistible.

Jocelyne SAUCIER,  2013
Comment la vie va changer pour trois hommes dans un ermitage au fin fond de la forêt canadienne.  

Sandrine COLLETTE,  2016
Patagonie. Dans la steppe balayée de vents glacés, un tout petit garçon est poursuivi par trois cavaliers. Rattrapé, lancé de l’un à l’autre dans une course folle, il est jeté dans un buisson d’épineux. Cet enfant, c’est Rafael, et les bourreaux sont ses frères aînés. Leur mère ne dit rien,

Antoinette FOUQUE,  1995
Libérer à la source le pouvoir créateur des femmes, c’est lancer un défi permanent au phallocentrisme ; s’ouvrir  à la génitalité des deux sexes, c’est se souvenir que le premier environnement de chaque être humain est un corps vivant, parlant ; se souvenir que l’on naît d’une femme et en éprouver de la gratitude, c’est abolir l’hégémonie d’un ordre tyrannique symbolique ; c’est s’évader des dogmes et des illusions des religions du Livre, stopper la spéculation du Tout-marchandise, du Tout-profit ; mais c’est aussi sans doute commencer à penser.

Patricia DARRÉ, 2019
L’auteur,  medium, vous fait découvrir le lourd impact des murs dont la mémoire a engrangé trop de drames, les objets chargés de mauvaises intentions, ceux  consacrés, qui ne supportent pas d’être dans un endroit profane .. Mais vous apprendrez aussi que beaucoup de présences bienveillantes, que vous “ressentez” parfois, près de vous, sont là pour vous protéger : nous ne sommes jamais seuls.

Gaël GIRAUD,  2013
 Y a-t-il d’autres issues que la généralisation des plans d’austérité budgétaire, le paiement des dettes bancaires par les contribuables et la déflation ? Ce livre met en lumière les illusions qui brouillent le débat public actuel et montre  que la contrainte énergétique et climatique est l’élément déterminant qui conditionne toute prospérité durable en Europe.

Marie PEZÉ,  2010
Une galerie de portraits par celle qui a ouvert la première consultation Souffrance et Travail en France en 1997.  Elle interpelle les managers et les responsables des ressources humaines, présente  ses outils de diagnostic et invite chacun à sa mesure à prendre sa part de responsabilités.

Benjamin DORMANN,  2012
Bilan alarmant:  Le favoritisme d’état – subventions publiques et privilèges fiscaux  – dont la presse ne parle surtout pas.

Sophie SERRANO avec Pierre PERNEZ,  2015
Le 4 juillet 1994, Sophie Serrano accouche de Manon. Atteinte d’une jaunisse, la fillette est placée dans la même couveuse munie de lampes UV qu’une autre nouveau-née.  Dans la nuit du 8 juillet, elles sont interverties  et remises à leurs faux parents par une auxiliaire puéricultrice. Ce n’est que dix ans plus tard que Manon et ses parents découvriront l’erreur.