Religion - Spiritualité

Catherine CHALIER,  2014
Dans la tradition juive, cette lecture, indissociable d’un travail sur soi-même, ouvre un espace éminemment éthique où le souci de l’autre tient une place de tout premier plan.

Maître Saint-Germain, 2008
Vivre en équilibre dans un monde en mutation.

Jacques DUQUESNE,  2004
Marie, ” pleine de grâce “, figure centrale du catholicisme… elle est aussi l’une des grandes inspiratrices de l’art à travers les siècles, associée à des idées de pureté, d’amour et de générosité. Mais qui était vraiment la mère de Jésus ?

Jean-Baptiste RENAULT, 2021
Sous-titre:  Notre-Dame de l’Épine, pélerinage champenois
La pratique pèlerine a évolué, entre ses tendances individuelles et collectives, spontanées ou encadrées dans une pastorale. Des récits légendaires aux images de dévotion, s’est dessiné un imaginaire pèlerin. La Vierge de L’Epine, honorée depuis les temps troublés de la Guerre de Cent Ans, est la mère des souffrants, la Vierge du Stabat Mater, au pied de la Croix. Mais c’est aussi la protectrice de l’enfance, L’Epine étant devenu un sanctuaire, tout spécialement consacré aux enfants.

Christian DOUMERGUE,  2004
Faisant suite à ” l’Epouse du Christ”, “la Terre Elue” s’attarde sur la vie de Marie-Madeleine après la disparition de Jésus. Des textes déclarés hérétiques par l’Eglise de Rome des premiers siècles, tels l’Evangile de Marie ou Pistis Sophia, nous apprennent que Marie-Madeleine, pourtant héritière légitime de Jésus, fut écartée de l’Eglise naissante par Pierre et les siens.

Jacqueline KELEN, 1992
Qui est cette mystérieuse Marie de Magdala, Marie-Madeleine, qui apparaît peu dans les Evangiles mais dont la tradition chrétienne a fait l’une des figures majeures parmi les proches de Jésus ? Une prostituée, une pécheresse repentie, ainsi a-t-on voulu lire officiellement les Ecritures, tandis que les Gnostiques ont célébré en elle le modèle même de l’Initiée…

Sophie GUEX,  2020
 Au sein même de l’épreuve de santé qui brisé sa vie à 16 ans, Marthe a choisi de croire à la tendresse et à la proximité de Dieu. Elle a accueilli le réel de sa vie et intégré ses limites. « La douleur, la souffrance ne vient pas du ciel, mais le secours en vient, le bonheur en est », écrit-elle dans son journal, à 28 ans. Elle témoigne que la vie peut être belle, même au milieu des épreuves ou dans des conditions de fragilité et de souffrance. « Je t’ai choisie pour ranimer dans le monde l’amour qui s’éteint », lui a dit Jésus en 1934. C’est le chemin qu’elle nous ouvre par sa vie.

Père Gilbert GÉRAUD,  2005
Textes  choisis.  La parole de Maurice Zundel, si simple et si exigeante,  se reçoit comme un message d’amour. Elle conduit le lecteur à  se retirer en lui-même, humblement appelé par la Présence, à lui devenir présent, comme un cadeau d’ici et de maintenant, pour la croissance et la joie.

Lytta BASSET, 2003
C’est toujours pour de ” bonnes raisons ” que nous jugeons autrui, au nom d’une prétendue morale chrétienne, ou de valeurs laïques qui en dérivent peu ou prou, oubliant l’affirmation de Jésus : ” Moi, je ne juge personne. ” Lytta Basset, pasteur et professeur de théologie en Suisse, analyse ici notre besoin de juger l’autre, symptôme d’une peur fondamentale

Neale Donald WALSCH,  1998
“Certaines personnes laissent ces Moments de grâce de côté, les enterrent, les passent sous silence et tentent même de les oublier. D’autres les partagent librement afin que des gens du monde entier puissent s’en inspirer, en tirer des leçons, se rappeler ce qu’ils avaient toujours su. Selon moi, ces personnes aident à guérir le monde.” (L’auteur)

Willa CATHER,  publié en 1918 aux E-U,  traduit en 1993
A la fin du siècle dernier, sur les plaines du Nebraska recouvertes à l’infini des mêmes herbes rouges, s’implantent de nombreuses familles d’immigrés européens.

Véronique LEVY, 2015
Elle est née dans une famille juive laïcisée et elle rencontre le Christ.  Une alternance d’ épisodes de vie,  de songes et dialogue de l’âme avec Dieu, de versets de l’écriture et  de paroles des saints.

Sylvie GERMAIN, 
La dynamique de la quête spirituelle à travers le thème des pas, de l’arrachement de la mort à nous-mêmes.

Veronica IONS,  1968

Omraam Mikhaël AÏVANHOV, 2000
La place de ces deux fêtes chrétiennes dans le calendrier doit nous faire comprendre qu’elles sont à interpréter symboliquement, en relation avec la vie de la nature. Ceux qui en ont fixé les dates jadis  possédaient une grande connaissance des correspondances  entre la nature et l’âme humaine. Ils avaient compris qu’en s’identifiant au principe cosmique du Christ, une rencontre idéale s’était faite en lui entre la vie spirituelle et la vie de la nature, la vie de l’univers.