Description
Paul VULLIAUD, 1987
La galerie nous montre, au début du XIXe siècle, Willermoz nonagénaire, encore occupé à tisser ses trames et à en ourdir de nouvelles, la loge androgyne du galant chevalier Maçon Mangourit, placée sous le haut patronage de l’Impératrice ; puis, au long de trois chapitres, l’inimitable Frère Charles Geille « amateur de spéculations sublimes », avec ses éminentes relations (Thory, Bédarride, etc.).