William Blake ou l’infini

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Description

Christine JORDIS,  2014
Pour retrouver la joie que nous portons en nous, disait le peintre anglais (1757-1827), il suffit de nettoyer les fenêtres de la perception. Ayant vu Dieu à huit ans, puis un arbre « rempli d anges », on le croit fou. C’est à l intensité de sa vision que l’on doit ses gravures hallucinées, ses teintes d’un autre monde, ses apocalypses décrivant la détresse et la terreur de son temps.

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