Témoignages

Julia KERNINON,  2017
Dans ce court récit, Julia Kerninon, pas encore trente ans, façonne sa propre légende. Née de parents fous de lecture et de l’Amérique, elle tapait à la machine à écrire à cinq ans et a toujours voulu être écrivain. Dans une langue vive et imagée, un salut revigorant à la littérature comme « activité respectable ».

Torey L. HAYDEN,  2002
Alliant l’humour à l’émotion, ce récit prouve qu’aimés et compris, les enfants perturbés peuvent redevenir “des enfants comme les autres”…

Ève RICARD,  2015
L’auteur, atteinte de la maladie de Parkinson, n’a eu de cesse, depuis plus de vingt ans, de puiser aux sources vives de l’existence pour dépasser la douleur du corps…  Préface de son frère,  Mathieu Ricard.

ANONYME, 2006
Journal 20 avril-22 juin 1945.  Les soviétiques sont aux portes de Berlin. C’est la vie quotidienne dans un immeuble quasi en ruine, habité par des femmes de tout âge, des hommes qui se cachent.

Geneviève de GALARD, 2003
L’auteure fut surnommée “l’ange de Dien Bien Phu”.

Jean-Louis DEBRE,  2019
JLD retrace ici la trajectoire de sa lignée à travers cinq générations : celles d’Anselme, de Jacques, de Simon, de Robert, de Michel. Une ascendance façonnée par la tradition juive, qui opta à la fin du XIXe siècle pour la France et la République.

Angèle LIEBY avec Hervé de CHALENDAR, 2012

Nicolas CLÉMENT,  2011
L’auteur,  très actif au sein du Secours Catholique,   part à la rencontre, tous les vendredis soir, de ceux que l’on ne voit plus, allongés sur les trottoirs, mendiants sur les pas des portes.

Patrick PELLOUX,  2012
Sous-titre:  Chroniques du SAMU
Médecin urgentiste, l’auteur perçoit la souffrance, la détresse, mais aussi l’espoir et parfois la joie. Son attention et sa sensibilité le portent vers les plus humbles, les plus anonymes. Tous les sacrifiés de la société. D’où cette colère teintée d’humour qui sourd dans ses textes au vitriol. 

Guy GILBERT,  2012
Le prêtre des loubards parle de  la solitude,l’amitié, la solidarité, le pardon, la charité, la vieillesse, le travail et bien d’autres choses.

Betty MAHMOODY,
L’auteur de “Jamais sans ma fille” présente l’histoire de Zana Muhsen:  En 1980, Nadia et Zana Muhsen, deux Anglaises de quatorze et quinze ans s’envolent au Yémen – pays de leur père – pour des vacances de rêve…  Là-bas, leur existence bascule dans le cauchemar. Prisonnières dans un village isolé, elles seront mariées de force. Leur père les a vendues ! 13 000 francs chacune.

Mahtob MAHMOODY, 2013
Vingt-cinq ans après le best-seller mondial “Jamais sans ma fille”, écrit par Betty, sa mère, Mahtob Mahmoody a décidé de raconter toute l’histoire.

Dorothée OLLIERIC,  2022
Maxime Blasco a trouvé la mort le 24 septembre 2021. 52e soldat français tué au combat contre les djihadistes du Mali, il avait 34 ans. Ce tireur d’élite, ancien pâtissier,  avait choisi  les chasseurs alpins. L’autrice trace au plus près le portrait intime d’un homme engagé, qu’elle avait pu rencontrer et interroger lorsqu’il avait sauvé en 2019, sous le feu de l’ennemi, deux camarades après le crash de leur hélicoptère dans le désert du Sahel.

Robert B.  MURPHY,  1990
Anthropologue américain paralysé, Robert F. Murphy décrit la perturbation des rapports avec l’entourage familial et avec ses collègues. C’est un témoignage de courage et d’espoir pour vivre et travailler avec les autres.

Marie SEY,  2019
L’autrice estdiagnostiquée  atteinte de la maladie de Charcot, qui a commencé à atrophier ses muscles et la rendra petit à petit prisonnière de son propre corps. Jusqu’à son dernier souffle, poussée dans ses derniers retranchements, elle résiste de toute la force de son esprit pour continuer à écrire : elle vivra jusqu’à en mourir.